Revue n°176
REVUE N°176
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DANS CE NUMERO N°176 :
Pour ce trimestre, Opérette – Théâtre Musical vous propose un nouveau numéro haut en couleurs. Riche de 76 pages d’une lecture agréable, illustré de 75 photos, et toujours à cheval sur l’actualité musicale… En bref, le mot éclectisme s’impose.
Vous êtes nostalgique des années cinquante ? Un dossier Georges Guétary vous attend. Vous adorez les ouvrages classiques ? Rendez-vous salle Favart et au Châtelet avec Offenbach, Varney et Hahn. Vous préférez l’entre-deux-guerres ? Scotto est à l’honneur. Vous aimez les ouvrages plus contemporains ? Vous les rencontrerez en particulier à Lyon et à Marseille. Vous êtes un fan de la comédie musicale anglo-américaine ? Cats sera prochainement à Mogador.
Vous vous intéressez aux artistes que vous avez applaudis ce trimestre ? Nous accueillons Isabelle Fleur, Gaëlle Arquez, Jennifer Michel, Richard Rittelmann, Alexia Ercolani.
Vous souhaitez approfondir vos connaissances dans ce domaine du lyrique ? Lisez nos dossiers sur le compositeur Edouard Mathé, sur Le marchand de Venise de Reynaldo Hahn qui vient d’être monté à Saint-Etienne, sur Les Chevaliers de la table ronde d’Hervé dont 45 représentations sont prévues ou encore sur Fantasio d’Offenbach.
Mais comme d’habitude, retrouvez de nombreux articles, critiques, interviews et programmes sur les comédies musicales d’hier, d’aujourd’hui et de demain !
Parmi les nombreux articles du numéro 176 de votre revue musicale, voici quelques exemples de ce que vous trouverez :
Georges Guétary
Opérette – Théâtre musical a un devoir de mémoire. C’est pourquoi ce numéro consacre 7 pages à Georges Guétary dont nous célébrons cette année le centième anniversaire de la naissance. S’il est bien oublié aujourd’hui, il faut se souvenir qu’entre 1945 et le début des années soixante, il connut une grande notoriété dans le domaine de l’opérette, de la chanson et du film musical. Il est le seul interprète français d’opérette ayant fait une carrière dans les pays anglo-américains notamment en créant une opérette à Londres puis à New York et en participant, auprès de Gene Kelly et Leslie Caron, au film Un Américain à Paris. En France, ses plus grands succès d’opérettes furent Pour Don Carlos, La Route Fleurie et Monsieur Carnaval…
Parmi les spectacles parisiens chroniqués dans Opérette – Théâtre Musical n°176 :
La Belle Hélène au Châtelet
En utilisant la technique du « compositing » (les acteurs filmés sur scène sont incrustés dans des décors projetés sur grand écran), les metteurs en scène Giorgio Barbiero Corsetti et Pierrick Sorin transportent l’opéra bouffe d’Offenbach dans un univers un peu surréaliste dominé par la radieuse Hélène de Gaëlle Arquez qui, par ailleurs, se confie dans une interview.
Deux opérettes à l’Opéra Comique
Cette fin de saison a été marquée par une nouvelle production, celle Des Mousquetaires au couvent, de Louis Varney, qui n’a pas recueilli tous les suffrages et par la reprise de Ciboulette avec une distribution en partie renouvelée
Cats à Mogador
Après Le Bal des vampires, Stage Entertainment France présentera du 1er octobre 2015 au 10 janvier 2016, l’un des grands classiques de la comédie musicale anglo-américaine : Cats, d’Andrew Lloyd Webber, dans une nouvelle adaptation française ici longuement détaillée
Gospel sur la Colline, aux Folies Bergère
Cette grosse production, centrée autour de la charismatique Firmine Richard, sera donnée du 4 septembre au 18 octobre avant une tournée des Zénith. La revue Opérette vous présente tous les détails de la nouvelle version de ce spectacle
Les régions ne sont pas en reste avec, entre autres :
Les Saltimbanques et l’Auberge à l’Odéon de Marseille
Ce théâtre est l’un des rares à encore afficher toute une saison d’opérettes, n’hésitant jamais à puiser dans notre patrimoine pour remonter certains ouvrages un peu oubliés, comme ces Saltimbanques, à côté de piliers du répertoire tels que cette Auberge du Cheval blanc, tous deux agréablement mis en scène et chantés.
Francis Lopez mais aussi Maurice Yvain à Lyon
La Cala de Lyon offre elle aussi une belle diversité dans ses choix en proposant, en plus de La Belle de Cadix et du Chanteur de Mexico, liés au centenaire de la naissance de Luis Mariano, cette rareté qu’est devenue l’excellente Chanson gitane de Maurice Yvain.
Un de la Canebière à Limoges
Cette célèbre opérette marseillaise de Vincent Scotto, que notre chroniqueur replace dans son contexte historique, a été donnée sur la scène de l’Opéra-théâtre de Limoges ; la production n’a pas rechigné sur les moyens en employant, outre une belle distribution, un chœur important et une quarantaine de musiciens. C’est la faculté de Limoges, avec le concours de professionnels, qui a monté l’ouvrage. L’expérience se renouvellera l’année prochaine et pourrait donner des idées à d’autres établissements
Dans votre magazine musical, ce trimestre, vous retrouverez également…
La revue permet également de faire plus ample connaissance avec les artistes, interprètes, compositeurs, metteurs en scène… Ainsi, outre Gaëlle Arquez déjà citée, nous avons notamment rencontré :
Richard Rittelmann : Aussi à l’aise dans l’opéra que dans l’opérette, ce jeune baryton a déjà beaucoup chanté auprès de vedettes prestigieuses et sous la direction de grands chefs.
Juliette : la chanteuse, dont la carrière est rappelée dans cet article, s’est vue remettre, des mains de Louis Dunoyer de Ségonzac, dans les salons de la SACD, le prix Maurice Yvain, prix qui est généralement attribué à des compositeurs.
Jennifer Michel : issue d’une famille de musiciens, cette jeune soprano aborde aussi bien l’opérette, La Chauve-souris, La veuve joyeuse, que l’opéra, Carmen, Les Contes d’Hoffmann, La Bohème.
Isabelle Fleur. elle se produit depuis le mois de mars au Théâtre Essaïon de Paris dans un one woman show : La Cantatrice chaude. Elle évoque ici sa carrière, déjà bien remplie, ainsi que ses projets.
Alexia Ercolani : cette mezzo soprano fleurtant avec la tessiture de contralto, est la fille du baryton Jean-François Ercolani et semble se diriger vers les emplois d’opéra.
Le devoir de mémoire de la revue nous amène également à évoquer, dans des articles plus développés, des compositeurs, des interprètes ou des ouvrages parfois tombés dans l’oubli. Ainsi, ce trimestre, vous pourrez découvrir :
Le compositeur Edouard Mathé (1863 – 1936) compositeurs d’opérettes, de ballets et de pantomimes aujourd’hui oubliés, son ouvrage le plus célèbre étant Les Linottes, d’après Courteline. Quel autre média que le nôtre peut évoquer un tel musicien ?
Le Marchand de Venise, de Reynaldo Hahn. Outre l’analyse très approfondie de l’ouvrage et de sa représentation à Saint-Etienne, on peut trouver une présentation du dernier livre paru sur le compositeur : « Reynaldo Hahn, un éclectique en musique » sous la direction de Philippe Blay.
Les Chevaliers de la Table ronde, l’opéra bouffe d’Hervé qui précéda le triomphe de L’œil crevé, nous est présenté avant sa résurrection à l’Opéra de Bordeaux par la Compagnie des Brigands et l’importante tournée à laquelle il va donner lieu.
Vous trouverez enfin diverses nouvelles brèves, les programmes d’opéra et d’opérettes du trimestre à venir pour toute la France et certaines villes de Belgique et de Suisse, mais aussi les hommages rendus à nos disparus :
Franck Ferrari et Michel Cadiou
Ces deux grands artistes nous ont quittés récemment pour un monde que l’on prétend meilleur.
Franck Ferrari, baryton niçois dont la voix, le charme et le talent l’ont conduit sur les plus grandes scènes du monde s’est éteint bien trop tôt à l’issue d’une longue maladie.
Michel Cadiou avait 84 ans. Ce célèbre ténor s’était illustré sur les scènes de l’Opéra et de l’Opéra Comique où « il fit apprécier des mezza voce savoureux et des notes aiguës d’une clarté et d’une limpidité les plus pures. » Il avait créé Eugène le Mystérieux au Châtelet. Deux générations, deux beaux artistes…
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